Ron's Org Spiritech

Blog

Votre nouvelle aptitude : communiquer

Le 27/06/2024

"La communication est le solvant de toutes choses. Elle dissout toutes choses."

Les fondements de la pensée

L. Ron Hubbard

6e47c79b 5dfb 413f 82f7 486ff75efc79Spiritech, votre centre de performance des aptitudes humaines vous propose de découvrir le cours de communication. Ce cours s'adresse à tous, indépendamment de l'âge ou du niveau d'étude. L'accompagnement est personnalisé et s'adapte aux capacités de chacun

Apprendre par coeur, réciter, connaître dates ou théories sans pratique, ne pas savoir quelle utilité cela peut avoir dans la vie, se faire noter sévèrement et « contrôler » ses connaissances… voilà exactement CE QUE NOUS NE FAISONS PAS ! L’école et l’université s’en sont très bien chargés jusqu’à maintenant, alors pourquoi vous infliger ça à notre tour ?

L'étudiant évolue à son rythme et selon ses propres contraintes personnelles et professionnelles.

La souscription à un cours est sans limite de temps.

Notre seule politique : votre compréhension et votre aptitude à appliquer les données apprises.  

 

Méthode :

Le cours se compose d'un feuille de progression qui permet de valider chaque étape de la formation. 

Ludique, le cours de communication associe pratique et théorie, pour une application dans la vie de tous les jours (privée ou professionnelle), avec succès.

A l'issue du cours, l'étudiant se voit remettre un certificat d'aptitudes.

 

Plus qu'une étape : contactez-nous !

"S'aider et aider les autres"

Le 17/06/2024

« J’aime aider les autres et mon plus grand plaisir est de voir une personne se libérer des ombres qui obscurcissaient sa vie.4067360d 12b0 46e1 8e01 25dd79666e3c

(…)

J’ai vu beaucoup de misère humaine. Tout jeune homme encore, j’ai parcouru l’Asie en tous sens et j’ai vu le désespoir et la misère des pays surpeuplés et sous-développés. J’ai vu des gens indifférents enjamber des mourants dans la rue. J’ai vu des enfants qui avaient moins que des loques et des os, et dans cette pauvreté et dégradation, j’ai trouvé des lieux saints où la sagesse était grande, mais où elle était soigneusement cachée et donnée sous la forme de superstitions.

 

Plus tard dans les universités occidentales, j’ai vu l’homme obsédé par le matérialisme, et je l’ai vu cacher avec toute son ingéniosité le peu de sagesse qu’il possédait en des lieux «austères» et la rendre inaccessible à l’homme ordinaire, moins favorisé que lui. (…)

 

Mes seuls moments de tristesse sont lorsque des êtres à la mentalité étriquée disent aux autres que tout est mal, qu’il n’y a aucun chemin, aucun espoir en quoi que ce soit, rien que tristesse, uniformité et désolation et que tout effort envers son prochain est une erreur. Je sais que ce n’est pas vrai.

 

Aussi, ma philosophie est que l’on devrait partager la sagesse que l’on possède que l’on devrait aider les autres à s’aider eux-mêmes.

(…)

Il faut ignorer les appels de l’intellectuel égoïste: « Ne révèle pas le mystère. Gardons-le pour nous. Le peuple ne peut comprendre ».

(…)

Aucun homme que je sache, n’a le monopole de la sagesse de cet univers. Elle appartient à ceux qui peuvent l’utiliser pour s’aider et aider les autres. »

 

L. Ron Hubbard

Extraits de « Ma philosophie »

Le texte intégral en cliquant ICI.

La liberté et les pièges

Le 18/05/2024

Cette semaine, nous souhaitons vous partager un texte passionnant traitant de la liberté, et des pièges qui nous en privent. Aussi, vous offrons-nous la lecture d’un chapitre entier extrait du livre « Une Nouvelle optique sur la Vie » (sources disponibles en fin de texte).

Nous vous en souhaitons une excellente lecture !

LA LIBERTÉ ET LES PIÈGES

38ff3f74 2ffa 4f10 a64e 9a8a12034a08En Grèce, à Rome, en Angleterre, dans l'Amérique coloniale, en France et à Washington, on a beaucoup discuté de liberté. La liberté est apparemment quelque chose de très recherché. En effet, chaque nation, chaque peuple semble viser la liberté. De même, si nous réhabilitons les aptitudes d'une personne, nous devons restaurer sa liberté. Si nous ne la restaurons pas, nous ne pouvons réhabiliter ses aptitudes. Le lutteur qui tend ses muscles, le conducteur crispé, le jockey en action, avec des réflexes rouillés, ne sont pas capables. Ils le deviennent quand s'accroît leur liberté, que leur tension se relâche et qu'ils communiquent mieux avec le milieu ambiant.

L'ennui principal avec la liberté, c'est qu'elle n'a pas d'anatomie. Ce qui est libre est libre. Vous n'y trouverez pas de fils, d'intermédiaires, de détours ou de barrages ; c'est simplement libre. Il y a autre chose qui se rapporte à la liberté et qui nous intéresse intensément : c'est qu'on ne peut pas l'effacer.

Il se peut que vous ameniez l'attention de quelqu'un à se concentrer sur quelque chose qui n'est pas libre et que vous le poussiez ainsi à croire que la liberté n'existe pas, mais cela ne signifie pas que vous ayez effacé la liberté de l'individu. Pas du tout. Toute la liberté qu’il n’a jamais eue est toujours là.

En outre, la liberté n'a pas de quantité, et par définition elle n'a ni localisation dans l'espace ni temps. Ainsi voyons-nous que l'individu (l'âme, l'esprit) est potentiellement la chose la plus libre qui puisse exister. Ainsi l'Homme met-il toute son attention sur la liberté.

Mais si la liberté n'a pas d'anatomie, alors veuillez nous expliquer comment on va atteindre quelque chose qu'on ne peut expliquer pleinement. Si quelqu'un parle de la « route vers la liberté », il parle d'une voie linéaire. Elle doit donc avoir des limites. S'il y a des limites, il n'y a pas de liberté.

Parlez à quelqu'un qui travaille de 8h du matin jusqu'à 5h du soir, qui est sans buts, sans futur, sans foi dans son employeur ni dans ses buts, qui est forcé par des échéances fixes, son loyer et autres barrières économiques, à investir la totalité de son salaire dès qu'il l'a reçu, et vous aurez un individu qui a perdu la notion de liberté. Son attention est si totalement fixée sur les barrières que la liberté se définit pour lui en termes de barrières moindres.

Les gens vivent dans la stupidité, ignorant tout dans la plupart des cas des désastres, jusqu'à ce que le désastre se soit produit. Le fermier du Middle-West a une phrase pour ça : « Verrouille la porte après qu'on a volé le cheval ». Il faut que le désastre arrive pour apprendre aux gens qu'il existe. C'est l'éducation par la souffrance, par le choc, par la punition. En conséquence, une population confrontée à un désastre-surprise qui raserait le globe terrestre n'aurait aucune chance d'en apprendre beaucoup sur celui-ci avant qu'il ait été rasé. Ainsi, s'ils mettent l'accent sur l'apprentissage par l'expérience en vue d'empêcher un tel désastre, l'occasion d'apprendre ne se réalisera jamais. Si aucune bombe atomique d'aucune sorte n'avait été lâchée au cours de la Deuxième Guerre mondiale, il est probable que la fission atomique ne causerait pas le moindre souci, même si l'on avait pu fabriquer une bombe capable de faire sauter la planète sans jamais l'utiliser contre l'Homme. Puis on l'aurait utilisée et ainsi on aurait détruit la Terre.

Si une personne ne sait pas ce qu'est un tigre, et que nous désirions lui prouver qu'aucun tigre n'existe, nous aurons quelque difficulté. Nous avons ici un exemple de liberté vis-à-vis des tigres, dans lequel la personne ignore tout à leur sujet. Avant qu'elle puisse comprendre ce qu'est l'absence de tigres, elle doit comprendre ce qu'est la présence de tigres. Nous appelons ce procédé d'apprentissage « l'expérience ».

Si nous voulions utiliser des méthodes d'éducation pour savoir quoi que ce soit, il faudrait donc connaître également son opposé. Le contraire d'un tigre existe probablement dans la jungle malaisienne où il y en a tellement que leur absence serait, en effet, une nouveauté. Un pays qui est totalement infesté de tigres ne peut pas comprendre du tout l'idée suivant quoi il n'y a pas de tigres. En certains endroits du monde, pour donner à une population vivant dans une zone infestée de tigres une petite idée de ce que pourrait en être l'absence, il faudrait déployer une grande somme d'arguments.

Comprendre la liberté, donc, est assez compliqué pour des individus qui, ne la possédant pas, ont évidemment peu de chance de la comprendre.

Mais l'opposé de la liberté est l'esclavage et chacun sait cela — n'est-ce pas ? Je ne pense pas que ces deux choses forment une dichotomie. La liberté n'est pas le positif d'une condition dont l'esclavage serait le négatif, à moins que nous ayons entièrement affaire à un système politique. Quand nous avons affaire à l'individu, une meilleure terminologie ainsi qu'une plus grande compréhension de l'anatomie de la liberté négative sont nécessaires.

La liberté négative est la prise au piège. La liberté est l'absence de barrières. Moins de liberté est la présence de barrières. Une liberté entièrement négative serait l'omniprésence de barrières. Une barrière est matière ou énergie ou temps ou espace. Plus la matière, l'énergie, l'espace ou le temps assument le commandement de l'individu, moins cet individu a de liberté. Le terme de prise au piège désigne très bien cet état de choses, étant donné que l'esclavage implique une intention et que la prise au piège pourrait être considérée presque sans intention. La personne qui tombe dans une fosse à ours peut ne pas avoir eu l'intention d'y tomber du tout, et une fosse à ours peut ne pas avoir été conçue pour qu'une personne y tombe. Néanmoins, une prise au piège a eu lieu. La personne se trouve dans la fosse à ours.

Si l'on veut comprendre l'existence et la série de malheurs qui l'accompagnent, il faut comprendre la prise au piège et ses mécanismes.

En quoi une personne peut-elle être prise au piège ? Principalement et avant tout, elle peut être prise au piège des idées. Étant donné que liberté et aptitude sont quelque peu synonymes, la première et la plus essentielle des prises au piège, c'est de croire qu'on est frappé d'incapacité. J'ose dire que, chez les humains, il est arrivé que quelqu'un ait été assis sur un terrain plat et nu, convaincu qu'il était entièrement cerné de palissades.

Penchons-nous sur l'épisode des pêcheurs du lac Tanganyika, mentionné dans Self- Analyse20. Les brûlants rayons du soleil, sous le ciel équatorial, percent les eaux du lac. Les indigènes attachent de nombreuses lames de bois à une longue corde. Ils prennent les deux extrémités de cette corde et la mettent dans des canoës, puis ils pagayent en direction du rivage, la corde tendue entre eux. Le soleil brillant à la verticale projette les ombres de ces barres au fond du lac, et ainsi une cage d'ombres avance-t-elle sur les fonds. Les poissons, voyant cette cage se resserrer sur eux, cette cage qui ne se compose de rien d'autre que d'absence de lumière, se débattent avec frénésie dans les hauts-fonds où ils ne peuvent plus nager ; ils sont alors capturés, enlevés dans des paniers et cuits. Leur seule terreur était provoquée par des ombres.

Quand nous quittons le domaine de la mécanique, nous ne nous sentons plus sur un terrain solide. L'idée que les idées aussi peuvent être solides et pénétrantes est étrangère à la plupart des hommes.

Aussi, en tout premier lieu, avons-nous l'idée. Viennent ensuite, produits eux-mêmes de l'idée, les mécanismes bien visibles de la prise au piège dans la matière, l'énergie, l'espace et le temps.

L'anatomie de la prise au piège est intéressante, et l'on connaît maintenant la raison pour laquelle les gens se font prendre, et en fait tout le mécanisme de la prise au piège. En Scientologie, une grande série d'expériences fut entreprise pour déterminer les facteurs qui faisaient tomber les gens dans un piège, et on a découvert que la réponse au problème tout entier était la communication réciproque.

En gros, les lois de celle-ci sont : la fixation se produit en présence d'une communication à sens unique. La prise au piège se produit seulement quand on n'a pas donné ou reçu de réponse aux choses qui nous prennent au piège.

On pourrait dire que toute la prise au piège consiste en l'attente d'une réponse.

La prise au piège est l'opposé de la liberté. La personne qui n'est pas libre est piégée. Elle peut l'être par une idée, par la matière, l'énergie, l'espace, le temps, par tous ces éléments. Plus profondément une personne est piégée, moins elle est libre. Elle ne peut pas changer, elle ne peut pas bouger, elle ne peut pas communiquer, elle ne peut ressentir ni affinité ni réalité. On pourrait dire que la mort elle-même est le piège ultime de l'Homme, car quand un homme est tout à fait piégé, il est mort.

Les composants de la liberté, tels que nous les constatons de prime abord sont donc : l'affinité, la réalité et la communication qui, réunies, forment la compréhension. Une fois la compréhension atteinte, la liberté l'est aussi. Quand un individu est complètement empêtré dans le mécanisme du piège, il est nécessaire de lui rendre les moyens de communiquer suffisamment, afin qu'il puisse accéder à une meilleure compréhension. Une fois cela réalisé, le piège saute. 

Il est possible à l'individu d'atteindre une plus grande liberté. Qu'il soupçonne un tant soit peu son existence, et son désir de s'en procurer davantage se manifestera. La Scientologie tire l'individu des pièges les plus grossiers. Il peut alors atteindre de plus hauts niveaux de liberté. 

L. Ron Hubbard

Extrait du livre « Une Nouvelle optique sur la Vie » - Chapitre 22, page 69

Également disponible en audio, sur Spotify

Vous pouvez également retrouver ce texte, plus détaillé encore, dans le livre « Dianétique 55 ! », chapitre VI « pris au piège », situé en page 71.

Pourquoi la vie est-elle un jeu ?

Le 13/03/2024

La vie est un jeuIl pourrait, pour certains d'entre nous, paraître étrange de comparer la vie à un jeu, tant son lot de surprises, de déconvenues, de difficultés... nous la rend pénible parfois.

Pour autant, afin de ne plus la subir, de ne plus en être l'effet et pour en reprendre le contrôle, être à nouveau pleinement cause sur la vie et autodéterminé, ne faudrait-il pas la considérer sous cet angle du "jeu" ? Ne faudrait-il pas considérer la vie pour ce qu'elle est, c'est-à-dire un ensemble composé de règles, de participants avec, à la clef, des victoires possibles ou des échecs... ?

C'est tout l'objet du texte ci-dessous, que nous vous proposons de parcourir :

"La vie est un jeu.

Un jeu se compose de liberté, de barrières et de buts. C'est un fait scientifique, et pas seulement une observation.

La liberté n'existe pas sans barrières. Une abondance de barrières ou une liberté totale signifie une absence de jeu. Ce sont deux situations aussi cruelles l'une que l'autre, aussi dépourvues de but.

Les grands mouvements révolutionnaires sont voués à l'échec. Ils promettent une liberté illimitée. C'est la voie vers l'échec. Seuls de stupides visionnaires chantent les louanges d'une liberté sans bornes. Seuls le couard et l'ignorant vantent avec insistance les barrières illimitées.

Quand le déséquilibre entre liberté et barrières se fait trop fortement sentir, les gens sont malheureux.

« Etre libéré de » n'est valable que pour autant qu'il y ait un endroit où l'on soit libre de. Un désir sans fin d'être « libéré de » est un piège parfait, la peur de tout.

Les barrières se composent d'idées inhibitrices (limitatives), d'espace, d'énergie, de masses et de temps. La liberté totale serait une absence totale de ces choses — mais ce serait aussi une liberté sans pensée ni action, une condition de néant total, sans bonheur.

Rivé à de trop nombreuses barrières, l'Homme brûle d'être libre. Mais, livré à une liberté totale, il est sans but et misérable. Il a besoin d'une étape intermédiaire.

Il est possible d'être libre au milieu de barrières. Si les barrières sont connues, si les libertés sont connues, il est possible de vivre, d'être heureux, d'avoir un jeu, d'exister.

(…)

Il existe plusieurs états d'esprit qui amènent le bonheur. L'état d'esprit qui revendique sans arrêt la liberté n'apporte rien que des malheurs. Plutôt que de succomber à ce piège définitif, total, qui consisterait à s'appesantir uniquement sur la liberté, il vaudrait mieux développer un mode de pensée qui nous permette de prévoir tous les nouveaux pièges imprévus ou ces choses dans lesquelles nous pourrions être piégés. L'homme prêt à accepter les restrictions et les barrières sans les redouter est libre. L'homme qui ne fait rien que combattre les restrictions et les barrières est d'ordinaire pris au piège."

Ce texte est extrait du livre « Une nouvelle optique sur la vie » (chapitre 6 - "LE POURQUOI" - p. 25), disponible sur spiritech.fr et également en podcast sur Spotify.

Le temps de réaction

Le 20/02/2024

Temps de réaction

Lors d'un précédent texte nous avions évoqué  la mémoire, et je vous avais promis la suite. Un autre sujet vital est votre temps de réaction.

Vous trouvez-vous trop lent ? Souhaiteriez-vous optimiser vos reflexes ? Une agilité mentale et corporelle ne vous rendrait-elle pas nettement plus performant dans ce que vous entreprenez ?

Le temps de réaction c'est  le temps nécessaire à votre mental pour trouver la solution en étant conscient et au contrôle complet. Et cela peut aisément être amélioré grâce à l'audition !

"La plupart des gens réagissent trop lentement dans les cas d’urgence. Disons qu’il vous faut une demi seconde pour retirer votre main d’un poêle brûlant. C’est beaucoup trop.

Ou disons qu’il vous faut un tiers de seconde pour voir la voiture qui vous précède s’arrêter et pour commencer à freiner. C’est trop long. Un temps de réaction lent provoque des tas d’accidents.

Le temps de réaction d’un athlète, par exemple, est un indice direct de son aptitude à pratiquer un sport. Il est donc très utile de pouvoir réagir rapidement.

Self-analyse accélère le temps de réaction. Voici un petit truc. Prenez un billet de dix euros déplié. Dites à quelqu’un de le tenir à la verticale au-dessus de votre main. Ouvrez le pouce et l’index juste au-dessous du bord inférieur du billet. Dites à votre ami de le lâcher. Essayez de refermer le pouce et l’index sur le billet. L’avez-vous manqué en refermant les deux doigts après qu’il soit passé à travers ? Vous avez réagi très lentement. L’avez-vous attrapé par le bord supérieur alors qu’il était presque passé ? C’est bien trop lent. Avez-vous les deux doigts sur le monument ? C’est pas mal. Ou bien l’avez-vous attrapé par le bord inférieur, presqu’avant qu’il ne commence vraiment à tomber ? C’est ainsi que ça devrait être. Moins d’accidents, une vivacité générale bien plus grande. Eh bien, à moins que votre main ou votre bras ne soient physiquement endommagés, Self-analyse vous aidera à mieux pratiquer ce petit truc."

Extrait du livre Self Analyse

Sébastien.

La science rencontre la spiritualité

Le 03/02/2024

Votre centre de développement personnel et spirituel, à la rencontre de la science et de la spiritualité.

Et si vous pouviez y faire quelque chose ?

Le 24/01/2024

Flow 8324890 1280

Envie d'amélioration ? De changer les conditions pour un mieux-vivre ? D'une compréhension globale et avancée de comment les actions se déroulent et pourquoi ?

Alors venez à la Soirée Élévation !

Ce samedi 27/01, je vous invite à une soirée unique (de 19h à 20h au Centre Spiritech Paris).

Ce que vous allez apprendre et découvrir est d'une richesse rare ! Cela risque de changer votre perception de la vie. Vous pourrez mettre en pratique et expérimenter votre nouvelle connaissance !

Il n'y aura pas de diffusion en ligne, il n'y aura pas de retransmission. La SEULE et UNIQUE occasion de bénéficier de la richesse de cette soirée est de vous inscrire et de venir en présentiel pour une expérience inoubliable !

Les places sont limitées : Inscrivez-vous !

Comment améliorer sa mémoire ?

Le 19/01/2024

La mémoire  Memory 8384107 1280

Imaginez votre vie quotidienne avec une mémoire nettement améliorée.

Vous pourriez vous rappeler quand tante Suzanne vous a dit qu'elle rentrait de voyage, de ce pays... le Venezuela ? le Pérou ? ou peut-être était-ce le Chili ?

Et ce vin que Jess nous a rapporté l'autre soir, c'était un Bourgogne ? Pas plutôt un Côtes-du-Rhône ?

Haaaa !!! Foutue mémoire !!!

Notre expertise du mental vous donne ci-dessous des réponses sur l'amélioration potentielle de votre mémoire. J'ai voulu vous les faire connaître. Une raison de plus d'expérimenter un accompagnement de très haute qualité vous rendant optimal sur de nombreux autres points.

"Êtes-vous efficace ? Quel est votre potentiel ? Jusqu’à quel point pouvez-vous vous améliorer ? Eh bien, vos intentions envers vous-même et vos semblables sont bonnes. Fondamentalement, votre potentiel, même si les mauvaises expériences l’ont parfois voilé, est bien plus important que quiconque ne vous l’a jamais laissé croire.  

Prenons votre mémoire : c’est une petite partie de vos atouts. Est-elle parfaite ? Pouvez-vous, à volonté, vous rappeler tout ce que vous avez jamais appris ou entendu, chaque numéro de téléphone, chaque nom ? Si cela vous est impossible, vous pouvez en conclure qu’il y a là matière à amélioration. Quelqu’un va jeter un rapide coup d’œil au titre de cet ouvrage et supposer que Self-analyse ne fait qu’améliorer la mémoire. C’est comme dire que tout ce qu’un train peut faire est de respecter les horaires. Self-analyse fait bien plus que cela. La mémoire n’est qu’un point de départ. Si votre mémoire était aussi précise que l’index d’un système de fiches IBM et même plus rapide, vous seriez plus efficace, plus à l’aise, et vous n’auriez certainement pas à prendre toutes ces notes.

Oui, vous ne pourriez probablement pas avoir une trop bonne mémoire des choses que vous avez étudiées et de celles dont vous avez besoin.

Mais beaucoup d’autres choses sont aussi importantes que la mémoire. Votre temps de réaction, par exemple. (...)"

Extrait du livre Self Analyse

...la suite lors de notre prochaine newsletter ;)