« Une accumulation de douleur pousse l'organisme vers la mort.
La douleur, quand elle se présente sous la forme d'un choc brusque et violent, provoque une mort immédiate.
Lorsque la douleur se manifeste à petites doses durant toute une existence, elle entraîne une mort progressive de l'organisme.
Qu'est-ce que la douleur ?
La douleur est un signal de perte. C'est un système d'alarme automatique intégré aux organismes vivants qui informe l'organisme qu'il est partiellement ou intégralement sous tension et qu'il ferait mieux d'agir, faute de quoi il mourra.
La douleur signale à l'organisme qu'une force ou un objet destructif est à proximité.
Ignorer la douleur signifie la mort. La douleur est l'aiguillon qui écarte l'organisme des poêles brûlants, du gel ; elle est une menace pour la survie ; elle sanctionne toute erreur commise dans nos efforts pour survivre.
La douleur est toujours synonyme de perte. Un doigt brûlé implique que le corps a perdu des cellules à cet endroit précis. Elles sont mortes. Un coup sur la tête signifie la mort du cuir chevelu et de certaines cellules dans cette zone-là. L'organisme tout entier est ainsi mis en garde contre la proximité d'une source de mort et tente de s'en écarter.
La perte d'une personne chère est également perte de survie. La perte d'une possession affaiblit, elle aussi, le potentiel de survie. C’est pourquoi on ne fait pas la différence entre douleur physique et perte d'organismes ou d'objets pro survie, et c'est cela qui engendre ce qu'on appelle "douleur mentale".
Mais la vie, dans sa lutte avec l’univers physique, ne supporte pas l'échec. Un organisme assez imprudent pour se laisser frapper avec une violence excessive, et plongé dans l'inconscience, demeure dans le voisinage de l'objet qui lui a infligé la douleur. Un organisme qui survit aussi lamentablement peut être considéré comme antisurvie.
L'inconscience que l'on ressent à la suite d'un coup ou d'une maladie est un exemple de ce qui va se passer pendant une vie tout entière.
Y a-t-il une différence, autre que le temps, entre ces deux choses?
Un coup entraînant l'inconscience, puis la mort, une accumulation de coups pendant toute une existence, entraînant un affaiblissement progressif de la conscience, et, finalement, la mort ?
L'une est plus lente que l'autre.
Une des découvertes fondamentales de la Dianétique est que l'inconscience et la douleur qui l'accompagne se logent dans une partie du mental et s'y accumulent jusqu'à ce que l'organisme commence à succomber.
La Dianétique a aussi permis de découvrir qu'on pouvait annuler ou effacer la douleur en rendant à l'individu sa pleine conscience et son intention de survivre.
En d'autres termes, la Dianétique permet d'éliminer l'inconscience et la douleur accumulées au cours des années et de rendre à l'organisme santé et vitalité.
L'accumulation de pertes et de douleur physique entraîne un tel affaiblissement de la conscience, un tel déclin de la santé physique et de la volonté de vivre, que l'organisme va activement, et souvent sournoisement, chercher à mourir.
Il suffit d'effacer ou d'annuler la douleur physique et les pertes de l'existence pour que revienne la vitalité.
La vitalité et la quête de niveaux supérieurs de survie constituent l'essence même de la vie.
On a constaté que le corps humain était tout à fait capable de se remettre en état, une fois qu'on avait éliminé les souvenirs de douleur. On a découvert, de plus, que le traitement des maladies psychosomatique (arthrite, rhumatisme, dermatite, et des milliers d'autres) ne produisait aucun résultat durable, tant que la douleur restait emmagasinée. La psychothérapie ne savait rien sur l’accumulation de la douleur et de ses effets. Elle s'est aperçue, il y a fort longtemps, qu'il suffisait de débarrasser le patient d'une de ses maladies pour qu'en apparaisse une autre. A la suite de quoi elle est devenue une école défaitiste car elle n'obtenait aucun résultat durable avec les patients aberrés ou malades, même si elle leur apportait quelque soulagement. C'est ainsi que toute tentative de rendre à l'homme vitalité et santé devint suspecte, car on n'arrivait pas à découvrir et à prouver la cause de son inefficacité et de ses maladies.
Avec la Dianétique, il est maintenant possible d'éliminer aberrations et maladies, car elle permet d'annuler ou d'effacer la douleur emmagasinée par le corps, sans en infliger davantage comme en chirurgie.
La conscience dépend donc de l'absence, de l'annulation ou de l'effacement des moments de douleur physique, car l'inconscience est partie intégrante de cette douleur ; elle en est un symptôme.
L'arthrite au genou, par exemple, n'est que l'accumulation de toutes les blessures passées reçues au genou. Le corps confond le temps et le milieu présents avec l'époque et le milieu où le genou fut vraiment blessé et, de la sorte, maintient la douleur en place. Les liquides du corps évitent la zone de douleur, ce qui provoque un dépôt qu'on appelle arthrite. La preuve en est que, si vous localisez et déchargez les blessures reçues à ce genou dans le passé, l'arthrite cesse et aucune autre maladie n'apparaît : la personne s'est définitivement débarrassée de son arthrite au genou. Et cela se produit dans dix cas sur dix, sauf lorsque le patient est si âgé, si physiquement diminué et si proche de la mort qu'il a passé le point de non-retour.
Prenez un cœur malade. La personne souffre de douleurs au cœur. Elle peut prendre des médicaments, pratiquer le vaudou, suivre un régime. Rien n'y fait, son cœur continue d'être malade. Il suffit de trouver et d'éliminer une véritable blessure physique infligée à ce cœur pour qu'il cesse de faire mal et guérisse.
Rien n'est plus facile à démontrer que ces principes. Un bon auditeur de Dianétique peut prendre une dame de trente-huit ans brisée et éplorée, faire sauter ses périodes passées de douleur physique et mentale et se retrouver avec une personne qui paraît avoir vingt-cinq ans, et qui, de plus, est épanouie et heureuse.
Bien sûr, ça paraît incroyable, tout comme l'est la bombe A, ces quelques grains de plutonium capables de rayer une ville de la carte.
Une fois que vous connaîtrez les principes fondamentaux de la vie et sa façon d'opérer en tant qu'énergie, vous pourrez rendre le goût de vivre aux malades, aux individus qui ont perdu toute vitalité, à ceux qui ont des tendances suicidaires.
Plus important encore que de traiter l'homme malade mentalement ou physiquement, vous pourrez aussi empêcher le déclin de celui qui est encore alerte et bien portant afin qu'il ne sombre plus jamais dans la maladie. Vous pourrez aussi prendre une personne dite normale et l'amener à un niveau d'intelligence et de réussite jamais atteint.
Rendez à l'individu sa pleine conscience et vous lui rendrez du même coup tout son potentiel de vie.
C'est à présent chose possible. »
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